Par Grégory Homans, associé-gérant au cabinet d’avocats fiscalistes Dekeyser & Associés (www.dekeyser-associes.com), formateur UCLouvain (UDA)
Dans le cadre de la formation du prochain Gouvernement fédéral, la taxation à un taux de 10% des plus-values sur les actifs financiers a été envisagée. Cette mesure a d’ailleurs déjà fait chuter une première fois le formateur De Wever. Si la taxation des plus-values est recalée pour l’instant (il n’est pas exclu qu’elle puisse réapparaitre – fût-ce sous la forme d’impôt temporaire), ce projet n’a pas manqué de soulever plusieurs questions. Parmi celles-ci :
Quels sont les actifs concernés ?
Bien que la dernière note du formateur évoquait « les actifs financiers », il semble que la taxe devrait viser les instruments financiers cotés en bourse ou non.
Quelle est la plus-value taxable ?
Une plus-value est, en principe, la différence entre le prix de vente et le prix d’achat d’un bien. Toutefois, plusieurs exonérations/tempéraments ont été prévus. Parmi ceux-ci :
Comment cette nouvelle taxe serait-elle prélevée ?
Les modalités de perception n’ont pas encore été définies.
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