Securities De Munter a le plaisir de vous présenter un nouveau membre de l’équipe. Depuis le 4 octobre, Marc Stevens a rejoint notre société de bourse basée à Bruxelles. Il est marié depuis 30 ans et père de trois enfants : Jules, Sofie et Jef. Il rejoint donc son fils Jules, qui travaille déjà avec nous.
Marc est diplômé en économie appliquée de l’Université d’Anvers (UA) et a ensuite obtenu un MBA à l’Université de Hartford. Il a entamé sa carrière professionnelle en 1986 chez KPMG au sein du département de conseil en gestion. Il a ensuite acquis de nombreuses années d’expérience en banque privée. Ses compétences se situent dans le domaine de la gestion de fonds, de l’analyse financière et de la gestion des relations avec la clientèle.
Au fil des années, la vision de Marc de la banque privée a considérablement évolué. À la fin du siècle dernier, la principale tâche d’une société de bourse belge consistait à exécuter soit des ordres d’achat et de vente d’actions sur la Bourse de Bruxelles, soit à traiter des ordres d’obligations, principalement sur le marché primaire, en collaboration avec un syndicat de grandes banques, également à Bruxelles. Tout cela se faisait moyennant le paiement de commission substantielle, réglementaire- ment établie. Quelques années avant le début de ce millénaire, un « big bang » s’est produit : d’autres institutions financières, qui n’étaient pas des sociétés de bourse, ont également été autorisées à exécuter des ordres de bourse ; en outre, le fonctionnement des marchés financiers a été numérisé et mondialisé. Conséquence logique, les sociétés de bourse innovantes ont adapté leur offre de services pour continuer à offrir une valeur ajoutée à leur clientèle. C’est ainsi qu’est né le concept de « banque privée », qui englobe, d’une part, la gestion de patrimoine et, d’autre part, la planification successorale. Toutes les sociétés de bourse n’ont pas effectué cette transition : sur les 300 sociétés de bourse présentes à la Bourse de Bruxelles en 1990, seules 20 sont encore actives après fusions, absorptions ou fermetures.
Pour Marc, la gestion de fortune moderne implique trois éléments essentiels :
1) Un rendement/risque conforme au marché pour vos investissements, en fonction du profil de risque que vous avez choisi – bien entendu, sous réserve de certains frais et de taxes inévitables.
2) Une « planification successorale » adéquate pour assurer une tranquillité d’esprit sur le plan financier et pour limiter la charge fiscale.
3) Une protection à fournir contre les « behavioural biases » ou « biais comporte- mentaux ». Une traduction française non littérale pourrait être celle de « préjugés intuitifs ».
Continuer à lire :
Une bonne idée est toujours facile à expliquer. Pour tenter de justifier une mauvaise idée, il faut beaucoup d'explications.
Intéressé par les marchés financiers et nos perspectives à leur sujet ? Téléchargez notre dernier magazine ou recevez-en un exemplaire imprimé.
Télécharger